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Voici un rappel de la réglementation concernant les pneumatiques MotoGP.

On y constate que les MotoGP disposent de 22 pneus pour faire un week-end de course, mais seulement 13 pneus pluie, voire même 11 si une des séances se déroule sur le sec.

Cela suffira-t-il au Japon ou verra-t-on des pilotes attendre dans leur box lors d’une séance, faute de pneus performants ?

Entre FP1, FP2, FP3, FP4, qualification, warm up et course, on parle de pas moins de 7 séances, ce qui implique, si la piste reste mouillée en permanence, qu’au moins un pneu pluie avant devra faire plusieurs séances (généralement le warm up), sans même parler du type de gomme (Soft et Medium pour l’avant au Japon, Extra-Soft et Soft pour l’arrière).


Réglementation pneumatique 2017

Allocation totale par course : 22 pneus  » slick « 
10 Pneus « slick » avant : Maximum de 5 gommes spécification A, maximum de 5 gommes spécification B et maximum de 5 gommes spécification C.
12 pneus « slick » arrière : Maximum de 6 gommes spécification A*, maximum de 5 gommes spécification B et maximum de 4 gommes spécification C.

* les pilotes participant à la fois à la Q1 et Q2 (Maximum 2 pilotes) se verront attribuer un pneu slick arrière supplémentaire de la spécification A (niveau de grip le plus élevé) après la Q2. Ils bénéficieront alors d’un maximum de 7 gommes spécification A.

11 pneus  » pluie « 
5 pneus avant : Maximum de 4 gommes avec la spécification A et maximum de 2 gommes avec la spécification B.
6 pneus arrière : Maximum de 5 gommes avec la spécification A et maximum de 2 gommes avec la spécification B.

Dans le cas où l’ensemble des séances d’essais libres et au moins une séance qualificative sont déclarées « wet », l’allocation est alors composée de 6 pneus pluie avant, 4 spécifications A + 2 spécifications B, et 7 pneus pluie arrière, 5 spécifications A + 2 spécifications B.

Le retaillage est interdit