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Valentino Rossi a le sien en la personne de Luca Cadalora, Marc Marquez a le sien en la personne de Emilio Alzamora, Johann Zarco a le sien en la personne de Laurent Fellon et Bradley Smith a le sien en la personne de Randy Mamola. Sans même parler de Fabio Quartararo qui a le sien en la personne de Randy de Puniet, ils sont nombreux en catégorie MotoGP a s’être approprier la présence d’un ancien pilote pour leur servir de coach.

Le travail de ces derniers consiste essentiellement à aller en bord de piste lors de chaque séance pour étudier comment passe « son » pilote dans chaque virage, en le comparant aux autres pilotes; point de freinage, frein moteur, passage en courbe, accélération, tout est décortiqué et reporté à l’intéressé.

Jorge Lorenzo avait le sien en la personne d’un Wilco Zeelenberg à l’œil particulièrement affûté. Hélas pour le pilote majorquin, le Néerlandais a préféré rester chez Yamaha pour y travailler avec Maverick Vinales.

Alors qui?

L’amitié reconnue entre Jorge Lorenzo et Max Biaggi aurait pu résoudre le problème, mais ce dernier a gentiment décliné cette offre: « En effet, j’ai eu cette opportunité. Mais j’aurais été amené à m’intégrer dans une structure qui a ses propres lois et équilibres. »

On ne force pas un Corsaire, qui a par ailleurs d’autres chats à fouetter en Championnat d’Italie, à intégrer le rang…

Casey Stoner ?

On a effectivement vu le pilote australien dans le box Ducati lors des tests de Valence, et il s’entend plutôt bien avec Jorge Lorenzo, tout en ayant déjà un objectif commun.

Mais Ducati vient de démentir cette possibilité. La raison apparaît évidente; on ne forcera jamais Stoner à venir sur chaque Grand Prix et à y observer chaque séance, alors qu’on n’a pas pu le forcer à faire une wild card chez lui..

Donc… le point d’interrogation reste entier et Jorge Lorenzo devra peut-être faire « sans ».

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