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Alors qu’il ne reste plus que quatre Grands Prix, Marquez occupe la tête du Championnat du Monde avec 16 points d’avance sur Andrea Dovizioso et 28 sur Maverick Vinales. Rafa Paya l’a interviewé pour AS, en commençant par lui demander si c’était un avantage d’occuper actuellement la première place.

Selon Marc, « Il ne fait aucun doute pour moi qu’il est toujours préférable d’être leader. Si cela peut être à partir de la première course, c’est encore mieux. À la fin, vous avez un petit matelas, une petite marge d’erreur et vous êtes plus à l’aise, ou du moins je vois ça comme ça personnellement. Si vous êtes derrière, vous n’avez pas droit à l’erreur. »

Arrivent maintenant les trois courses consécutives avec des climats compliqués. Préparé ?

« Oui, pour la tournée à laquelle nous sommes confrontés, nous nous préparons physiquement mais maintenant aussi en économisant un peu d’énergie, car il est important de bien recharger les batteries. Ce sont trois rendez-vous consécutifs avec des changements d’horaires qui épuisent, mais nous avons déjà envie d’y être et de voir si nous pouvons maintenir l’avantage. »

Sur les trois Grands Prix asiatiques, quel est le circuit que vous aimez le moins ?

« Jusqu’à l’année dernière, j’aurais dit que celui que j’aimais le moins était le Japon, mais je m’y suis bien comporté, je m’y suis retrouvé à l’aise, j’étais rapide dès le début et j’ai réussi à y gagner la course et le titre. »

« La clé est de voir tous les rivaux de manière identique. Ne regardez pas seulement les deux avec lesquels vous jouez. Vous pouvez avoir un Lorenzo au Japon qui va vite et où la Ducati va bien, et il peut gagner la course. Vous ne pouvez pas contrôler un ou deux pilotes. Si vous pouvez marquer des points, allez-y parce que vous ne savez pas ce qui se passera ensuite. »

Photos © Repsol Media

Source : As

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