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On connaît déjà l’histoire de la Peugeot Moto3. De français, la machine n’a que le nom, le matériel étant conçu en Suisse grâce à des capitaux indiens, après avoir connu une genèse en Italie. Dernièrement, un centre de développement a d’ailleurs été installé en Italie…

Et c’est encore en Italie qu’est née la Moto3 à moteur Oral qui participe actuellement au championnat du même pays sous le nom de Kymco.

Selon Speedweek, l’objectif de Kymco-Oral est de faire son arrivée en Championnat du monde Moto3 en 2018.

C’est donc encore loin, et c’est tant mieux, car cela nous laissera le temps de retracer le passé de ces deux entités ainsi que de la multitude de marques pour lesquelles à œuvré Engines Engineering, société italienne impliquée en début de projet… Prévoyez l’aspirine !

Mais le passé est derrière nous et, depuis 2016, c’est Oral Engineering, à la base motoriste, qui a repris à 100% la conception de la moto « taïwanaise ». Les résultats commencent à venir avec Simone Mazzola à son guidon, celui-ci ayant atteint par deux fois la 4e place en 2016 en Championnat d’Italie pour conclure 6e au général.

La photo d’illustration présente une version décorée de la Moto3 250 GP « EVO » Kymco Oral décorée par l’artiste allemand Walter Maurer et les deux vidéos ci-dessous vous permettront d’en savoir beaucoup plus sur cette Moto3 Italo-Taïwanaise.

Quant aux chances d’arriver un jour en Mondial, elles sont à notre avis très minimes, au vu de la réglementation qui impose de pouvoir fournir plusieurs teams. Un obstacle qui, par ailleurs, ne serait pas de nature à effrayer Ducati et sa puissance de feu…

 

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