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Andrea Iannone n’a pas fait une tonitruante rentrée à Sepang. Discret lors des trois jours de tests en Malaisie sur sa nouvelle Suzuki, Joe le Maniac a découvert une GSX-RR si difficile lors des freinages appuyés qu’elle l’a flanqué par terre, pendant que son jeune équipier Rins s’en sortait bien mieux que lui.  Le 16 de ce mois de février, de nouveaux essais s’ouvriront à Buriram en Thaïlande. L’officiel d’Hamamatsu y arrivera au moins avec une certitude : celle de son moteur.

Un élément important pour les troupes de Davide Brivio qui s’étaient clairement plantées dans ce choix mécanique l’an dernier. Une fausse route qui avait plombé toute la campagne 2017. Une saison où Iannone n’a intégré qu’une seule fois le top 5, au Motegi, tandis qu’il n’a pas été vu dans les points pendant quatre Grands Prix. Ceci, ajouté à cinq abandons, fait que le transalpin doit se montrer sous un bien meilleur jour en 2018.

Il revient ainsi sur ses premiers tours de roues de ce millésime : « Il faisait chaud et on a connu quelques difficultés, notamment lors du dernier jour. On a cependant trouvé des choses positives. Nous avons notamment validé le moteur pour 2018. C’est un élément très important pour nous ».

« Il y a cependant des secteurs où nous devons progresser. Nous continuons à avoir des difficultés dans certains domaines, comme le freinage et l’accélération. Il faut bien analyser la situation pour comprendre comment nous pouvons aller de l’avant. On va continuer à travailler et on verra où on en sera en arrivant pour le Grand Prix du Qatar ».

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