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Cette année en MotoGP, le calendrier des Grands Prix passe à 19 rendez-vous. Soit un de plus que la coutume jusque-là en vigueur. Un changement dû à l’arrivée de la Thaïlande et de son tracé de Buriram. Au passage, cela fait une étape de plus dans l’épuisante campagne outre-mer. Mais le MotoGP va là où le marché est. Et ce n’est pas fini, car selon Ciabbati de chez Ducati, il faut aller au plus vite aussi en Indonésie…

Le fait est là : le marché planétaire du deux roues motorisé est commandé par le Sud-Est asiatique. Une demande réelle à laquelle l’offre doit d’autant plus répondre que les habitants de ces contrées vouent une réelle passion pour ces engins. Un intérêt qui tourne à l’idolâtrie lorsque le sujet du MotoGP et de ses pilotes est abordé : « les pilotes sont incroyablement suivis en Indonésie » insiste le directeur sportif de Ducati. « Pour exemple, 40% de mes followers sur Instagram viennent d’Indonésie ».

« Au début février, j’étais là-bas avec Lorenzo et Dovizioso pour un événement et les fans étaient complètement dingues lorsqu’ils ont vu les pilotes. Pour eux, ce sont de véritables héros. Lorenzo y est une idole. Lorsque vous avez déjà un tel public pour ce type d’événement, alors imaginez ce qu’un Grand Prix donnerait. Il y a plusieurs projets de pistes dans ce pays et on espère une décision pour 2019. Il y aura des élections et après, ils se décideront pour un projet ou non ».

« Nous devons avoir une course en Indonésie le plus vite possible ». Voilà qui est dit. Et si l’on suit la logique, on devrait aussi espérer une course au Vietnam, en Chine ou encore en Inde…

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