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Après trois années passées sur une Honda en MotoGP, Jack Miller s’habitue petit à petit à la Ducati GP17 qu’il découvre au sein de l’équipe Pramac. Avec pour chef d’équipe Christian Pupulin, l’Australien a tourné lors de la première journée à Sepang en 2’00.178.

Classé cinquième, il renouvelait ce classement le lendemain, tout en améliorant son chrono en 1’59.509. Il conservait finalement la cinquième place à l’issue de la troisième journée en 1’59.346.

Pour Pupulin, c’était « un bilan très positif. Nous avons pu atteindre les objectifs que nous nous étions fixés, notamment en termes de style de pilotage. Nous pouvons encore nous améliorer car nous avons souffert un peu dans les derniers tours du long roulage avec des pneus usés. »

Les plus

« Ce que j’ai aimé le plus à propos de ces tests, c’est que Jack va toujours à 100%. C’est important car cela nous permet également d’utiliser le temps au tour pour évaluer les changements à effectuer sur la moto. Jack donne toujours le meilleur de lui-même, sans peur et entre en piste toujours très concentré. »

Les moins

« Comme je l’ai déjà dit, nous devons encore travailler un peu sur la distance de course car le pneu arrière s’use un peu trop. Nous devons encore trouver quelque chose mais nous avons fait un bon pas en avant. Honnêtement, nous ne sommes pas encore prêts à être compétitifs jusqu’au drapeau à damier, mais nous avons encore beaucoup de temps. »

Objectif Buriram

« J’ai de bons espoirs car un pilote talentueux comme Jack a tendance à être rapide sur des pistes inconnues. Il pourrait avoir quelque chose de plus que d’autres et son talent naturel pourrait lui permettre de comprendre une nouvelle piste avec moins de difficulté. Et puis la Ducati, grâce à son électronique, est une moto qui donne toujours quelque chose de plus dans ces conditions. »

Photos et source : Pramac Racing

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