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Pendant que son nouvel équipier Viñales jouait les vedettes en défiant les chronos sur la Yamaha M1 version 2016, de l’autre côté du box aux trois diapasons, Rossi travaillait pour 2017. Une nouvelle moto au châssis différent qui donne satisfaction. Le moteur en revanche…

Valentino Rossi en a terminé avec ses deux jours de tests d’intersaison à Valencia. Deux jours où il a pu faire connaissance avec son nouvel équipier Maverick Viñales mais aussi et surtout avec la nouvelle M1. Résultat final ? Un septième chrono le dernier jour à 0.734s de son nouveau binôme leader de la feuille des temps. Et une treizième place dans le classement des vitesses de pointe…

Pas de quoi pavoiser donc. Et le diagnostic du Doctor ne donne pas dans l’enthousiasme débridé : « lors du dernier jour, on a fait beaucoup de tours, soit 69, pour comparer l’ancienne et la nouvelle moto, pour éprouver le nouveau moteur et le nouveau châssis. Il nous reste beaucoup de travail à faire, et sur ces deux points ».

« Les premières sensations avec le châssis sont bonnes mais il demande quelque chose de différent en terme de réglages. Alors on a besoin de plus de temps pour déterminer le bon équilibre. La semaine prochaine, on aura de nouveaux essais à Sepang, qui est un tracé totalement différent de celui de Valencia ».

Et puis il y a le moteur… «Il faut concentrer nos efforts sur le moteur. Sur l’accélération. Il nous faut être plus efficace en sortie de courbes. C’est une première étape mais mon sentiment pour le moment est qu’il n’est pas un énorme progrès. Il nous faut travailler là-dessus et j’espère qu’à Sepang j’aurais des évolutions ».

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