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A la veille des premières courses du championnat du monde au Qatar, il semble que Yamaha a encore quelques tâches à régler, à commencer dans l’équipe Movistar MotoGP qui cherche toujours le moyen d’au moins égaler le niveau de performance de Johann Zarco.

L’équipe officielle des trois diapasons semble souffrir des mêmes difficultés rencontrées lors de la dernière saison. Les M1 bleues sollicitent trop leurs pneus et ne sont pas assez efficaces en sorties de virage, à l’ouverture des gaz. Les deux pilotes officiels se plaignent. Maverick Viñales semble avoir perdu le Nord avec son châssis tandis que Valentino Rossi, plus calme, semble attribuer à l’électronique l’origine de tous les maux.

Au cours des récents tests au Qatar, avec un exemple vivant sous les yeux, le #46 a fait tout son possible pour exploiter celle-ci, mais n’est toujours pas pleinement satisfait du résultat. D’où, selon un article de Massimiliano Garavini pour le site Pu24.it, une exigence faite par Valentino Rossi pour le renouvellement de son contrat : d’après le journaliste italien, l’inclusion dans l’équipe d’un spécialiste de l’électronique Magneti-Marelli pourrait même être une condition sine qua non.

Est-ce la vraie raison ? Peut-être en partie…

Notons simplement que le renouvellement du champion italien pour 2017 et 2018 avait alors été aussi rapide que l’éclair, coupant l’herbe sous le pied de tout le paddock, à commencer par Jorge Lorenzo lui-même.

En ce moment, c’est plutôt le contraire, et ce, malgré les déclarations de bonnes intentions du concerné qui affirme vouloir rempiler pour 2 ans et ne pas faire de team MotoGP au moins jusque là.

Face à tout cela, Yamaha oppose une confiance qui cache pourtant vraisemblablement un désaccord quelconque.

 

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