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Pour sa première journée en 1000 à Valence à la mi-novembre, Sam se classait sur son Aprilia à 2.4 du leader Maverick Vinales, puis se blessait en chutant et ne pouvait participer à la deuxième journée. A Sepang, il se positionnait le premier jour à 3.26 de Stoner. Puis il progressait par la suite et terminait les trois jours à 1.9 de Maverick Vinales.

Alors que le Britannique effectue des débuts en MotoGP, il ne s’est classé à Sepang qu’à 1.2 de son expérimenté coéquipier. Sam tournait en 2’01.341 et Aleix Espargaro en 2’00.108. « Au terme de ces trois jours je suis parvenu à réduire assez significativement l’écart avec les leaders, ce qui est très important, estimait Lowes. Nous avançons dans la bonne direction. Tout est nouveau pour moi, j’apprends donc à chacune de mes sorties. Mon programme comportait également une simulation de course. J’ai pu constater à quel point piloter une MotoGP sur le tracé de Sepang était exigeant physiquement et mentalement, mais je suis content de la façon dont se sont déroulées les choses. Ce test était très important pour moi. Nous n’étions pas focalisés sur le classement. Nous avons encore six jours de test avant le Grand Prix du Qatar et si nous continuons sur cette lancée, je pense que nous serons prêts. »

Lors du dernier Grand Prix de Malaisie, Aprilia avait obtenu un magnifique résultat en plaçant pour la première fois sa première moto devant la meilleure Honda, Alvaro Bautista terminant septième devant Jack Miller huitième. Cette septième position était également le meilleur classement de l’année pour le constructeur italien, à égalité avec les septièmes places de Stefan Bradl en Argentine et d’Alvaro Bautista au Japon.

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Lors des tests de Valence en novembre, le Directeur du service course d’Aprilia Romano Albesiano préférait que les nouveaux pilotes, Aleix Espargaró et Sam Lowes, utilisent les GP-RS 2016. La nouvelle moto fit ses débuts en janvier, lors d’un test privé avec Mike di Meglio. Pour Albesiano, la 2017 est une évolution de la moto précédente, avec une certaine innovation. « La RS-GP est bien équilibrée et n’a pas de point faible particulier, donc nous essayons d’optimiser tous les aspects. Les pilotes nous demandent d’améliorer la capacité de la moto à tourner ». Et des chevaux en plus ? « Dans les années 90, les 500 avaient 180 chevaux, ce qui semblait déjà assez. Les MotoGP actuelles en ont une centaine de plus, mais ce n’est jamais assez. Plus vous en avez, mieux c’est. »

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