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La première ligne MotoGP, Valentino Rossi, Maverick Vinales et Andrea Iannone, ainsi que les polemen Moto2 et Moto3, Sam Lowes et Romano Fenati, étaient conviés à cette conférence de presse post-qualification du Grand Prix d’Italie 2016.

Afin d’éviter toute interprétation journalistique abusive, nous vous proposons ici une traduction « brute » de l’intégralité des propos de Maverick Vinales.

Quelle fin de séance, quand vous avez suivi Valentino puis qu’il vous a suivi…

« Oui, vous savez j’aime bien partir tard dans la séance, quand il n’y a pas trop de pilotes, et Valentino part également tard. Quoi qu’il en soit, je me sens vraiment bien sur la moto. Ce week-end, je suis très relax après avoir pris ma décision et le team a également très bien travaillé donc je dois les féliciter car j’ai fait du bon travail ce week-end. »

Le rythme, les pneus, cette piste, pour sûr ce ne sera pas facile…

« Oui, évidemment. Les Ducati seront fortes, ici, mais nous avons de toute façon un très bon rythme et je ne me suis vraiment senti très bien en FP4. Nous avons essayé beaucoup d’options, le Dur, le Tendre, et je pense qu’au final le Tendre sera notre pneu pour la course. Ce sera difficile de rallier l’arrivée avec un très bon rythme. »

 Cette année, tous ceux qui sont partis de la pole ont gagné; qu’en pensez-vous et à quoi vous attendez-vous?

« Je ne suis jamais parti de la pole, donc je ne sais pas ce que c’est que de gagner (de là). Néanmoins, vous avez plus de possibilités car cela veut dire que vous avez travaillé très dur durant le week-end, que vous avez de bons réglages, et vous avez donc plus de possibilités de gagner. Quoi qu’il en soit, j’essaierai de gagner demain. »

Le plus célèbre mot de l’année, « biscotto », est réapparu dans la bouche de Marquez puis Jorge a déclaré qu’il s’agissait d’une stratégie entre vous et Valentino, et que c’était comme de copier à l’école. Vous avez été aidé par Valentino…

« Pour moi, l’important est que si je démarre au moment où les feux passent au vert, il y a vraiment beaucoup de pilotes. Il est alors difficile de se concentrer, de faire un (bon) tour ou d’attaquer à la limite. Quoi qu’il en soit, en temps normal je préfère faire mes tours tout seul. Avec Valentino, je ne sais pas; parfois, comme moi, il part vraiment tard et nous sortons ensemble de la pit-lane. Si je dois dire quelque chose, c’est que je n’aime pas avoir du trafic devant, et en temps normal, cela fonctionne. »

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