Oubliez la diplomatie. Oubliez le fair-play. Le chaos rôde à Yas Marina … et Lando Norris pourrait en être la prochaine victime. Le Britannique arrive à Abu Dhabi avec 12 points d’avance. Les bookmakers lui mangent dans la main : côte à 1,33, comme si le trophée était déjà gravé à son nom. Mais Max Verstappen a un message très simple : « Vous rêvez. »
Car le triple — pardon, quadruple — tyran de la F1 n’a aucune intention de laisser un gamin au sourire colgate lui voler son empire. Les cotes lui donnent encore une chance (3,50)… mais connaissant Max, il pourrait bien décider que si lui ne gagne pas, personne ne gagnera.
Et s’il tentait un remake version 2021 ? Et si la FIA fermait encore « accidentellement » les yeux ? Et si… tout dérapait ? Si quelqu’un sait gagner une finale sous tension, c’est bien lui. Et il le martèle dans les paddocks : « Je veux finir ce que j’ai commencé. »
Oscar Piastri, lui, observe ce cirque avec un calme glaçant. Le gosse peut encore être champion (côte 13 !) si les deux autres s’autodétruisent. Et franchement… vu la tension, on prend les paris.
Abu Dhabi : Norris, si proche du graal, mais Verstappen n’a pas dit son dernier mot
Mais attendez… qui va gagner la course ? Les cotes en piste donnent ces trois snipers en tête : Verstappen 3,30, prêt à tout, surtout au pire, Norris 3,75 mais a-t-il le courage d’un champion ou juste le sourire ? Piastri 4,50, soit la menace silencieuse.
À l’arrière-plan, des hommes qui pourraient faire exploser le scénario parfait : Russell à 9 annoncé comme le fauteur de troubles. Antonelli à13 en tant que le rookie insolent ? Et Leclerc à 23 – invisible toute l’année… donc dangereux
Les fans le savent : ça va être tendu. Ce titre vaut de l’or, envoyant son vainqueur vers la gloire éternelle. Verstappen est acculé — et un champion acculé, c’est une bombe à retardement.
La dernière page de la saison ne sera pas écrite… Elle sera arrachée. Accrochez-vous. Les rebondissements n’attendent que le feu vert. Rendez-vous sous les étoiles d’Abu Dhabi. La Formule 1 veut un roi. Il va falloir le conquérir… de force.
