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Ce n’est pas une chimère et on s’en félicite. A partir du 11 mai, l’étau d’un confinement imposé par le fléau du coronavirus va se desserrer. Une procédure qui n’autorisera cependant aucun relâchement individuel dans cette nouvelle ère sociale qui sera sanitaire ou ne le sera pas. Si tout reste sous contrôle, la vie des compétitions sportives pourra reprendre son souffle, avec une date du 15 juin importante pour tous les passionnés des engins mécaniques. C’est en effet à cette échéance que les circuits seront à nouveau accessibles… Ou presque !

L’information nous vient du site endurance24.fr. Et on la prend telle quelle, avec bonheur dans cette conjoncture déprimante. Selon cette source, le ministère des Sports a remis à Matignon mercredi 22 avril sa proposition de stratégie de déconfinement.

Le ministère propose la reprise du sport professionnel en général et de l’activité des athlètes de haut niveau à compter du 11 mai, date à laquelle les athlètes pourraient reprendre le chemin de l’entraînement.

Le ministère propose également la reprise du sport en plein air pour le grand public avec comme mot d’ordre : « les Français devraient pouvoir « courir, marcher et rouler » en extérieur dans des conditions « normales » à partir du 11 mai. »

Concernant le sport professionnel, le ministère propose une reprise des compétitions à huis clos pour les ligues professionnelles jusqu’à la fin de la saison. Un autre volet fait état de la reprise des activités du champ commercial du sport (circuit auto, hippodromes, etc.). Il est proposé que ces activités reprennent progressivement à partir du 11 mai. Le but à atteindre est de tout rouvrir à partir du 15 juin. Le ministère ajoute que ces activités représentent une forte valeur ajoutée sur le plan économique, touristique et sanitaire.

 

 

L’objectif du ministère est la reprise normale des grands événements à partir du mois d’août toujours dans le cadre de la doctrine sanitaire. On marche donc dans la bonne direction, même si une épreuve de Championnat du Monde n’est pas pour autant garantie. Car il faut pour cela des avions qui décollent et atterrissent tout comme des frontières ouvertes. Et ça, c’est une autre histoire… Mais à chaque jour suffit sa peine.