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Jack Miller

Jack Miller, avec son énergie débordante et son optimisme à toute épreuve, fait des vagues chez Pramac Yamaha en 2025. Après des années chez Honda, Ducati et KTM, l’Australien apporte son expérience et une philosophie positive qui dynamisent le projet Yamaha, en quête de renouveau. Sur le podcast Speedweek, il a dévoilé son approche unique pour tirer le meilleur de sa monture, même imparfaite, et contribuer à la relance du constructeur japonais.

Jack Miller incarne un vent de fraîcheur chez Yamaha. Après un passage compliqué chez KTM en 2024, où les soucis de « chattering » ont pourri sa saison, l’Australien a rebondi avec fougue dans le giron de Pramac, désormais partenaire satellite de Yamaha. Et malgré un classement modeste (15e) après quatre manches, Miller s’impose déjà comme une pièce essentielle du renouveau technique de la marque aux diapasons.

Ce qui change tout ? Son état d’esprit. « Absolument oui. C’est comme ça que j’ai fait tout au long de ma carrière. Et aussi en MotoGP avec toutes les motos », affirme Miller. « Au début avec Honda, puis chez Ducati et KTM : j’ai toujours essayé de regarder les points forts et de m’appuyer également sur les points forts. Même si les choses tournent mal, il faut en tirer le meilleur – et non le pire. »

Son approche est simple, mais redoutablement efficace : comprendre les forces de la machine et les exploiter à fond, sans se perdre dans les défauts inévitables de toute moto. « On n’a jamais la moto parfaite. Peu importe qu’on soit sur la meilleure ou la pire moto du plateau, on rencontre toujours un problème. »

Jack Miller

Jack Miller : « Pecco Bagnaia a réalisé le meilleur début de saison de sa carrière et les médias se plaignent de ses mauvais résultats, c’est de la foutaise »

L’arrivée de Miller chez Pramac représente également une transition majeure : de deux teams d’usine à une structure satellite. Mais pour lui, cela ne change rien. « Honnêtement, je pense que cela ne fait absolument aucune différence. Cette liberté repose uniquement sur les résultats. Dans ce métier, c’est la performance qui prime. »

Toujours franc, Miller prend même la défense de Pecco Bagnaia : « il a réalisé le meilleur début de saison de sa carrière et les médias se plaignent de ses mauvais résultats, à la troisième place. C’est de la foutaise. »

Malgré son abandon au Qatar, Miller a prouvé au Texas qu’il n’avait rien perdu de sa hargne avec une superbe 5e place. Et dans les coulisses, il guide Yamaha dans une phase de reconstruction cruciale, fort de son vécu chez trois constructeurs majeurs.

Son objectif ? Rester fidèle à lui-même, en gardant la tête froide : « il est important de ne jamais se laisser distraire par ce genre de choses. Je me concentre sur l’optimisation de mon travail ! »

Avec son mental d’acier et sa philosophie tournée vers les solutions, Jack Miller pourrait bien être la pièce manquante du puzzle Yamaha. Il insuffle une énergie nouvelle au projet M1, prouvant que l’optimisme et l’expérience peuvent faire des miracles, même face aux défis les plus coriaces. Une chose est sûre : il ne lâchera rien !

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