Dans une prise de parole qui a déclenché un sourire général dans le paddock MotoGP, Günther Steiner, nouveau team principal de KTM Tech3, a lancé une invitation inattendue à Lando Norris, champion du monde de Formule 1, pour qu’il essaie une MotoGP KTM — en soulignant avec humour que la moto a « la même couleur que sa McLaren ».
Steiner a saisi l’occasion, sur le podcast « The Red Flags », pour s’adresser directement au pilote McLaren, passionné de deux-roues depuis toujours : « il est le bienvenu pour venir piloter notre moto l’année prochaine. Elle a la même couleur, papaya — bon, c’est orange — mais elles sont très similaires. Il peut venir et rouler avec, on trouvera un moyen de l’organiser. »
Lando Norris est connu pour son amour des motos — il a commencé par le motocross enfant et n’a jamais perdu cette passion — et il a déjà exprimé publiquement son admiration pour des figures du MotoGP comme Valentino Rossi.
From his karting years to Formula 1… 🥹
Lando Norris returns to the FIA Awards stage, but as World Champion! 🙌#F1 pic.twitter.com/NvNJoW0IqX
— Formula 1 (@F1) December 12, 2025
L’invitation de Steiner illustre un désir croissant dans le paddock MotoGP de créer des ponts avec la F1
Steiner a relevé avec malice qu’il ignorait si Zak Brown, patron de McLaren, serait ravi de voir son champion F1 enfourcher une MotoGP, mais l’invitation reste posée : un test ou quelques tours au guidon d’une KTM pourrait être*une expérience unique pour Norris, renforçant les liens entre les deux disciplines et célébrant la passion commune de la vitesse.
Ce n’est pas la première fois qu’une star de la F1 s’aventure du côté du MotoGP : Lewis Hamilton a déjà piloté une Yamaha M1 de Valentino Rossi, et Michael Schumacher avait lui aussi testé une MotoGP à Mugello dans le passé.
Au-delà du clin d’œil léger, l’invitation de Steiner relayée par GPOne illustre un désir croissant dans le paddock MotoGP de créer des ponts avec la F1, surtout à une époque où les passions pour les deux championnats dépassent les frontières des disciplines. Mais surtout, cela montre que, parfois, la sportivité et l’amusement passent avant les contraintes purement compétitives — même entre des mondes aussi différents que ceux des deux et des quatre roues.





























