L’arrivée de Toprak Razgatlioglu chez Yamaha Pramac enflamme le paddock, mais avant même que le Turc ne monte sur la M1, un premier imbroglio agite les coulisses : la présence de son ingénieur de confiance, Phil Marron, n’est pas garantie.
Depuis des mois, tout le monde pensait que Marron suivrait logiquement Toprak dans l’aventure Yamaha, mais la réalité est plus compliquée selon GPOne. Le pilote turc, fidèle à son style, préfère minimiser le problème.
« Pour moi, ce n’est pas une question de vie ou de mort », a-t-il confié. « Phil est un ami, un frère, et il m’a beaucoup aidé en Superbike. Mais en MotoGP, les choses sont différentes. Je suis heureux si nous travaillons encore ensemble, mais s’il n’est pas là, je resterai concentré sur ma mission : gagner. »

Toprak Razgatlioglu : « la moto sera nouvelle, l’équipe aussi. Je dois m’adapter, et je suis prêt »
Une déclaration qui peut sembler apaiser les tensions, mais qui cache mal un vrai casse-tête organisationnel pour Yamaha. L’ingénieur irlandais, figure clé du succès de Toprak Razgatlioglu en WSBK, n’est pas encore assuré de faire le saut en MotoGP.
Dans le paddock, certains murmurent que cette incertitude pourrait compliquer l’adaptation du champion du monde Superbike, attendu comme l’une des têtes d’affiche de 2026. Mais Toprak, encore une fois, refuse de se laisser distraire :
« La moto sera nouvelle, l’équipe aussi. Je dois m’adapter, et je suis prêt. Phil ou pas Phil, mon objectif reste le même : être compétitif dès le début. »
Yamaha mise gros sur Toprak, mais avant même que les feux ne s’allument, un détail crucial – son chef d’équipe – menace déjà de perturber le plan. Et si Toprak Razgatlioglu affiche une sérénité de façade, dans les coulisses, Yamaha devra vite trancher pour éviter que le “casse-tête Marron” ne se transforme en vrai handicap.































