La légende ne s’éteint jamais. La Suzuki GSX-R 1300 Hayabusa, icône absolue des hyperbikes, poursuit son aventure en 2026 avec une série de retouches techniques intelligentes et l’arrivée d’une édition spéciale qui fera battre le cœur des fans.
Toujours fidèle à son surnom de « faucon pèlerin d’Hamamatsu », la Hayabusa reste cette machine au charisme brut, conçue pour avaler des kilomètres à des vitesses qu’on n’ose même plus écrire. Après plus de 189 000 unités vendues et une (courte) disparition en 2018, elle avait signé un retour triomphal en 2021. Et pour 2026, Suzuki préfère l’évolution à la révolution.
Le quatre-cylindres en ligne de 1 340 cc ne change pas son ADN : 190 ch à l’appel, toujours ce souffle infini… mais désormais avec plus de couple à bas régime. De quoi muscler encore davantage les relances, son terrain de chasse favori.
Au programme également : régulateur de vitesse évolué, actif même pendant les changements de rapport, « launch control » optimisé pour des départs façon catapulte, batterie lithium-ion désormais de série et meilleure gestion électronique, plus de sécurité… et un poids réduit.

Pas de révolution visuelle : la Hayabusa reste une Hayabusa. Et c’est tant mieux.
Suzuki accompagne cette mise à jour d’une édition exclusive : livrée bleue avec graphismes blancs, silencieux noirs ultra-sobres, logo commémoratif sur le réservoir de 20 litres et capot de selle passager fourni d’origine.
Un clin d’œil élégant à son héritage, pensé pour ceux qui veulent se distinguer… même à l’arrêt.
Côté tarifs, les 3 coloris standards sont au tarif public de 19.599€ TTC. Le coloris Edition Limitée est au tarif public de 20.299€ TTC.
Une chose est sûre : l’Hayabusa continue de se battre dans son royaume, celui des machines qui refusent la norme et célèbrent la vitesse pure. Le faucon n’a pas fini de voler. Alors que le marché des hypersports se tourne vers l’électrique ou la surtechnologie, l’Hayabusa persiste à incarner une certaine idée de la performance pure, brute et intemporelle. Preuve que certains mythes n’ont pas besoin de révolution pour continuer à faire rêver.






























