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Températures très élevées et piste au tout nouveau revêtement, très sale le matin, pourraient synthétiser la première journée de la manche du Championnat du monde FIM Superbike sur le Pertamina Mandalika International Street Circuit en Indonésie.

Après avoir utilisé la FP1 principalement pour se familiariser avec le nouvel asphalte du circuit Mandalika, Álvaro Bautista (Aruba.it Racing – Ducati) a vu son feeling avec la Ducati Panigale V4R s’accroître tour après tour lors de la seconde séance, ce qui lui a permis de conclure son avant-dernier tour de la FP2 avec 462 millièmes de seconde d’avance sur Toprak Razgatlioğlu (Pata Yamaha avec Brixx WorldSBK) sous les yeux de Luigi Dall’Igna et Paolo Ciabatti.

 

 

Álvaro Bautista (Aruba.it Racing – Ducati) – P1 : « Ça a été une journée très étrange. En FP1, nous avons littéralement essayé de mettre de la gomme sur la piste parce qu’avec le nouvel asphalte, l’adhérence était inexistante. L’après-midi, les choses se sont améliorées même si je dois dire que les conditions ne sont toujours pas optimales : nous n’avons qu’une ligne d’adhérence mince car le circuit n’est pas encore parfaitement gommé. Dans tous les cas, nous avons recueilli beaucoup de données pour essayer d’améliorer encore demain. »

 

 

Toprak Razgatlioğlu (Pata Yamaha avec Brixx WorldSBK) – P2 : « Ce matin, nous avons commencé avec une piste sale mais l’après-midi, nous nous sentions beaucoup mieux. Le feeling avec la moto est très bon et je suis prêt à courir. Nous avons essayé différents réglages pour la course, avons également fait du bon travail et je suis très heureux de la simulation de course. Je me tourne maintenant vers demain car ce sera une journée importante pour moi. Maintenant, il y a juste une trajectoire propre mais pas complètement. Mais dans la course, il ne sera pas facile de dépasser parce qu’à l’extérieur de la trajectoire est très sale. J’espère qu’il ne pleuvra pas ce soir car sinon je pense que demain commencera comme aujourd’hui. Ce n’est pas facile pour tous les pilotes, et la durée de vie des pneus est difficile à gérer maintenant, mais nous verrons. Maintenant, mon plan est de faire de bonnes qualifications et une bonne course, j’espère me battre pour la victoire. Mon objectif ce week-end est de remporter trois victoires, mais la météo est toujours en train de changer, donc nous faisons de notre mieux. »

 

 

Michael Rinaldi (Aruba.it Racing – Ducati) – P3 : « Dans l’ensemble, je peux considérer ce vendredi comme assez positif. En effet, nous avons terminé à la troisième place sur un circuit où j’ai rencontré plusieurs difficultés l’année dernière. J’ai fait un bon tour, c’est vrai, mais nous devons encore améliorer le rythme. Dans la FP2, nous avons réussi à faire un pas important par rapport au matin, mais nous en aurons certainement besoin d’un autre demain pour pouvoir nous battre pour le podium. »

 

 

Jonathan Rea (Kawasaki Racing Team) – P4 : « Ce matin, la piste était très sale. Et même dans l’après-midi, je me sentais bien sur la trajectoire, dans la plupart des zones, mais certaines zones sont critiques. En dehors de la trajectoire, c’était un cauchemar. Les réglages avec lesquels nous sommes arrivés, compte tenu du niveau d’adhérence auquel nous allions être confrontés lors de la FP1, étaient assez éloignés de nos réglages de base, du point de vue de l’équilibre et de la position. Je ne me suis pas senti à l’aise de toute la journée, même l’après-midi quand le niveau d’adhérence a augmenté. Quand vous n’êtes pas à l’aise et nerveux, quand la trajectoire est très, très étroite, c’est comme marcher sur une corde raide en regardant simplement la corde. Vous devez être confiant, regarder vers l’avant. Nous pouvons voir très clairement ce qui me manque et nous pouvons voir par où commencer samedi. »

 

 

Garrett Gerloff (GYTR GRT Yamaha WorldSBK Team) – P5 : « C’est génial qu’il y ait un nouvel asphalte sur la piste, mais aujourd’hui nous avons dû nous assurer de rester sur la trajectoire pour éviter de chuter. Dans la FP2, les choses se sont beaucoup mieux passées, mais c’était encore difficile à piloter. Faire un dépassement sera difficile en course, car vous devez passer sur la partie sale de la piste et une fois que vous y êtes, il est très facile de tomber. Le choix des pneus est vraiment difficile, même le composé le plus dur se détruit, et je pense qu’après la course 1, il sera plus clair de savoir qui a fait le bon ou le mauvais choix. »

 

 

WSBK Superbike Mandalika FP2 : classement

Crédit classement : Worldsbk.com

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