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La force de Valentino Rossi à Jerez a été une entame de meeting sur les chapeaux de roues. De bons réglages trouvés d’entrée, une vélocité perçue lors des premiers tours de roues, une confiance installée et une direction clairement définie. En fait, exactement le contraire de cette première journée au Mans…

Le Doctor est le premier à le reconnaître, ce Grand Prix de France ne commence pas de manière idéale. Il explique : « cette journée a été compliquée pour moi. L’après-midi surtout, mais le matin n’était pas mieux. On a commencé avec quelques idées sur les réglages et le matin, le classement n’était pas si mauvais, mais nous étions lents. On avait donc besoin de trouver quelque chose si bien que l’après-midi, on avait des choses à tester ».

Des évaluations qui ont été perturbées : « on a commencé la deuxième séance avec un problème avec le pneu avant qui vibrait beaucoup. On a perdu du temps. Ensuite, on n’a rien trouvé pour progresser suffisamment. Je me suis concentré sur le pneu dur arrière, mais il ne donnait pas assez d’adhérence. J’ai alors mis les tendres et il y a eu une amélioration, mais nous restons franchement loin des hommes de tête ».

Plus d’une seconde exactement de son équipier qui, lui, a caracolé devant. Dixième et donc à la porte de repêchages, Valentino Rossi se retrouve, dès ce vendredi soir en ballottage défavorable : « ce matin, je n’étais pas assez rapide pour essayer le troisième pneu amené par Michelin. Je j’essaierai demain ». Un pneu arrière tendre qui n’a reçu que des louanges de la part de Lorenzo et des Ducati qui passeront une nuit moins agitée avant de reprendre le collier demain.

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