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Lorsqu’un pilote de pointe quitte un constructeur pour un autre, il se pose toujours une question stratégique et politique en plus d’un enjeu sportif. Car les contrats des pilotes s’achèvent au terme de l’année civile et la saison finit en novembre… Qui marque aussi le début de l’intersaison et des premiers tests. Le champion se trouve donc dans une zone grise gérée à la discrétion de son futur ex-employeur. Parfois ce dernier est bienveillant. D’autres fois non… Et Jorge Lorenzo à lui seul va vivre les deux cas !

Il y a deux ans, Jorge Lorenzo quittait Yamaha, un constructeur qu’il servait depuis 2008 et avec qui trois titres mondiaux avaient été conquis. Destination Ducati, mais le changement de cap avait peu enthousiasmé les décideurs de la marque aux diapasons. Ces derniers avaient certes laissé Por Fuera découvrir sa nouvelle monture à Valence dès la clôture de la saison, mais ils avaient posé leur veto pour les autres galops d’essai programmés par l’IRTA, avant la fin de l’année.

Un frein qui ne sera en revanche pas mis par Ducati qui verra le même Majorquin partir servir les intérêts de Honda. Une attitude très noble que l’on aimerait voir plus souvent. D’ailleurs, que va décider Suzuki au sujet d’Andrea Iannone en partance vers Aprilia ?

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