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Ce jeudi 11 novembre 2021, Franco Morbidelli a répondu aux questions des journalistes depuis le Circuit Ricardo Tormo à Cheste (Valence), en prélude au Grand Prix de la Communauté Valencienne.

Nous sommes allés écouter (via un logiciel de téléconférence) les propos du pilote italo-brésilien, qui occupe actuellement la 17e place du championnat.

Comme à notre habitude, nous reportons ici les paroles de Franco Morbidelli sans la moindre mise en forme.


 

Franco, cette saison s’est essentiellement résumée pour vous à bien gérer votre récupération physique suite à votre blessure. Pouvez-vous nous dire à quel point vous avez progressé par rapport à vos attentes sur ce point ? Êtes-vous loin d’être de retour à 100% de vos capacités ?

« Cela progresse très bien, même si bien sûr la compétition a tendance à ralentir un peu ma récupération, notamment quand je me retrouve dans des situations comme celles de ce weekend où on enchaîne deux courses à une semaine d’intervalle. Les choses vont donc dans le bon sens, et il faut que je garde à l’esprit que c’est une blessure qui prend du temps à se guérir. C’est donc une bonne chose d’avoir pu remettre le pied à l’étrier avant la saison prochaine. »

Qu’est-ce que cela va vous faire de rouler l’an prochain sans la présence de Valentino Rossi en piste ?

« Ce qui est sûr c’est que c’est quelque chose dont je ne vais pas avoir conscience sur la moto ! Mais j’imagine qu’une fois descendu de celle-ci le sentiment que j’aurais sera un peu amer. Cela va faire bizarre de ne plus avoir cette légende du sport et cet ami dans le paddock. Oui, j’aurais de l’amertume, donc je vais essayer de ne pas trop y penser. »

« De l’amertume à l’idée du départ de Valentino »

 

 

 

Cela va quand même être un weekend rempli d’émotions…

« Encore une fois ce sera effectivement le cas une fois descendu de la moto. Mais je vais essayer de ne pas trop y penser car il n’y a pas vraiment la place pour les sentiments quand vous êtes engagé sur un weekend de course. »

« On a beaucoup de temps pour travailler, beaucoup de temps pour répondre aux questions des journalistes, mais finalement peu de temps pour être ému. Si je me remémore tous ces moments passés en piste avec Valentino, je ne pense qu’à des histoires formidables, et le fait d’avoir évolué auprès d’un être incroyables. Pour le moment si j’y pense cela me procure beaucoup de nostalgie. »

 

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