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La saison 2020 de MotoGP qui débutera en mars du côté du Qatar devrait démarrer sur les chapeaux de roues. Cette année, il ne faudra effectivement pas perdre de temps pour s’assurer d’un avenir vers les horizons 2021 et 2022. Le marché des transferts pour cette période sera ouvert et personne ne voudra lambiner pour mettre tout ça en ordre avant de se concentrer exclusivement sur l’exercice en cours. Du coup, entre les pilotes qui auront une moto de l’an passé encore dans le coup ambitionnant un meilleur statut, et ceux qui viseront les meilleures places ou souhaiteront pérenniser celle qui est la leur, ce sera la foire d’empoigne. Mais elle ne durera pas longtemps…

Qu’on se le dise : en 2020, il ne faudra pas rater son début de saison. Sinon, on en paiera le prix pour celle de 2021 et 2022. C’est en effet dans cette première partie de campagne que se signeront les meilleurs contrats. Ce qui nous promet une rude bataille puisque le niveau des motos entre les nouveaux modèles et ceux de l’année passée est encore à peu près équilibré à cette période.

La pression sera grande d’entrée et la fenêtre de tir sera réduite. C’est du moins ce qu’annonce Francesco Bagnaia qui est certain de ceci : « il y a un risque que nous arrivions au Grand Prix d’Espagne à Jerez avec tous les contrats déjà conclus. » On rappellera que Jerez est seulement le cinquième des 20 Grands Prix au calendrier. Il se déroulera début mai. Tous les contrats en vigueur en MotoGP expirent à la fin de l’année 2020, à l’exception de celui de Tito Rabat. Les managers sont d’ores et déjà sur le pied de guerre.

 

 

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