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C’est un fait acquis et d’ores et déjà répété par les responsables pour bien mobiliser les consciences : le monde d’après le coronavirus sera moins riche que celui d’avant. Cette situation économique et financière dont le maître mot sera rigueur se vivra intensément dans le paddock des Grands Prix en général, comme en MotoGP en particulier. Les salaires et les effectifs vont devoir être revus à la baisse. Mais chez KTM, les mécaniciens peuvent compter sur un représentant de leurs intérêts en la personne de Pol Espargaró…

En MotoGP, les pilotes sont logiquement les stars du système. Une position cependant méritée au regard des efforts qu’ils ont dû déployer pour en arriver là, et des risques qu’ils prennent. Par ailleurs, la plupart ont un corps dont l’état ferait pâlir le commun des mortels. Mais grâce à une abnégation, une résilience à la souffrance, à un entraînement de tous les instants, ils tiennent, en ne pensant pas aux lendemains qui seront douloureux avec l’âge…

Tout ça pour dire que ça mérite un bon salaire. Autour d’eux, il y a une équipe, aux effectifs aussi rémunérés. Avec la crise qui va faire ressentir ses conséquences, c’est ce contingent qui sera la variable d’ajustement. Mais chez KTM, les décideurs devront faire avec l’avis d’un Pol Espargaró qui se montre attentionné avec ses mécaniciens.

« Nous montons sur la moto et nos vies sont entre les mains de nos mécaniciens » commente Pol. « Il y a des équipes qui, parfois, ne paient pas bien les mécaniciens, ou ne les traitent pas comme ils le devraient. Parfois, ils doivent passer de nombreuses heures dans la voiture pour économiser un billet d’avion. J’insiste beaucoup chaque année pour que mes mécaniciens soient bien payés. Je pense que je suis bien payé, et donc je veux que mes mécaniciens soient bien payés aussi. » Voilà qui est dit.

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