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C’est une bonne entrée en matière pour le rookie Iker Lecuona qui, lors du test de Valence, a déjà confirmé tout le bien que l’on pensait de lui au guidon de la KTM Tech3, à commencer par son boss, Hervé Poncharal.

A 19 ans et venant de la Moto2, il a fait son entée dans la cour des grands lors du grand final à Valence, et a participé aux deux jours de test sur ce même tracé. Le moins que l’on puisse dire, c’est que le pilote Espagnol s’est rapidement formaté au style de pilotage à avoir sur la RC16 du team KTM Tech3. Il ravi son monde à commencer pas son boss et c’est déjà le plus important..

Son tout nouveau patron, Hervé Poncharal, a déclaré que les tests étaient axés sur l’essai de modifications sur  la moto en vue de faciliter son adaptation au pilote : « ce qu’il a fait est très impressionnant. Je suis sincère car nous avons testé différentes configurations pneus et il s’est relativement bien adapté. Vous pouvez voir que tour après tour, son style de pilote s’améliore, il gagne en efficacité sur la MotoGP et je voudrais dire que ce soir, nous sommes une équipe heureuse. »

Le Français a avoué être surpris par la performance de son pilote Iker Lecuona lors des essais améliorant son temps: «nous sommes très fiers et chanceux d’avoir Iker avec nous, nous ne nous lasserons pas, mais ce fut une bonne première journée pour la saison. 2020. La seconde journée a été également excellente. Le temps au tour a été un peu plus rapide, mais le rythme était nettement meilleur”.

Le manager de l’équipe Red Bull KTM Tech 3 estime que l’évolution d’Iker Lecuona est très positive mais rien n’est encore acquis. Il le sait bien, car la suite des réjouissances reste à venir. « Selon les données, on pourrait voir que son style de conduite est également bien meilleur. C’est donc une mission accomplie. Maintenant, nous nous dirigeons vers Jerez pour continuer le dur travail, nous sommes très heureux! » a conclu le tricolore dont le team Tech3 est basé à Bormes-les-Mimosas, dans le Var.

Pour sa part, le rookie était content d’avoir appris très vite : « en Moto2, vous n’utilisez plus d’embrayage lorsque vous descendez les rapports, c’est l’une des rares choses qui m’aident à m’adapter au MotoGP. En général, l’électronique est très différente, la puissance est gérée totalement autrement. J’ai besoin de progresser dans tous les domaines car il existe une grande différence entre MotoGP et Moto2. Beaucoup de puissance et beaucoup d’électronique à prendre en compte. J’ai été surpris parce que j’ai été plus rapide que prévu » a conclu le pilote originaire de Valence.

 

 

 

 

 

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