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Fabio Quartararo se prépare pour l’échéance de Jerez, un tracé qui lancera non seulement la saison MotoGP à compter du 17 juillet, mais qui sera aussi le théâtre de tests de remise en route… Tout comme d’un autre Grand Prix le 26 juillet. Un rendez-vous intéressant pour le Français qui avait commencé à éclore l’an passé avec sa première pole position dans la catégorie qu’il découvrait seulement. Cela étant dit, c’est pour un autre circuit que son cœur bat. Et pour cause, il offre une sensation unique. La voici…

Fabio Quartararo est assuré de son avenir jusqu’à fin 2021, et il est radieux. Dans les petits papiers de Yamaha, le tricolore aura de quoi faire parler la poudre avec une M1 dernier cri dans son team Petronas, avant de rejoindre carrément l’équipe officielle comme équipier de Maverick Viñales. Il est donc impatient de s’y mettre et ça commencera à Jerez… Devant les officiels pour les éclairer sur son escapade au Paul Ricard pour des tours de piste sur une Yamaha R1 qui pose question à certains.

Cela étant dit, l’essentiel est la compétition et elle se fera sur le rythme d’un calendrier à 13 Grands Prix. Pas mal en ces temps de pandémie. Cependant, l’homme aux sept podiums et six pole-positions regrette qu’au programme, il manque sa piste préférée : le Mugello.

Il explique ainsi : « nulle part ailleurs, vous ne ressentez le sentiment de vitesse que vous ressentez en ligne droite au Mugello. Vous roulez à 350 km / h et vous ne pouvez pas voir la courbe. La piste monte et descend la montagne. La roue avant décolle et vous devez freiner. C’est l’un des meilleurs sentiments que je n’ai jamais eu en MotoGP ».

Il insiste même : « le Mugello est l’un des meilleurs tracés pour ressentir la vitesse. Je pense que Doha est plutôt cool aussi. L’une des raisons est que l’on y pilote la nuit. Le parcours est également différent des autres circuits », rapporte Quartararo dans une interview Instagram de MotoGP.

« J’aime le Mugello, le Qatar et Barcelone. Chaque piste a quelque chose que j’aime beaucoup. À Misano, par exemple, j’aime le virage rapide à l’arrière droit. Chaque piste a quelque chose. Mais si je devais choisir une piste, ce serait Mugello » , précise le pilote Yamaha.

Un lien spécial avec Assen

Et quel est le tracé plus exigeant ? « Je dirais que c’est Assen. J’adore le parcours, mais c’est très exigeant physiquement et mentalement. La piste est très rapide mais pas très large. Il faut être très précis dans les virages. Il y a plusieurs types de virages Le circuit est l’un des plus exigeants », analyse-t-il.

« Je crois que c’est la seule piste sur laquelle j’étais sur le podium dans chaque catégorie, en Moto3, Moto2 et MotoGP. La plupart des pilotes diront qu’Assen est l’un des circuits les plus difficiles à apprendre. Il est difficile d’être rapide là-bas », a déclaré un Quartararo au gros cœur.

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