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A l’impossible nul n’est tenu dit l’adage. Et Claude Michy malgré toute sa bonne volonté ne peut plus qu’à s’en remettre à son bon sens auvergnat forgé sur les pentes de Super Besse et le rivage du Lac Chambon. Ainsi, sa volonté d’airain de maintenir son Grand Prix de France a subi un nouvel impact. En effet, la France est officiellement pour deux mois en état d’urgence sanitaire.

C’est une situation à, laquelle on commence à s’habituer, mais hélas trop lentement au regard de l’enjeu vital d’une lutte contre une pandémie impitoyable. Alors les pouvoirs publics serrent la vis. La France est officiellement pour deux mois en état d’urgence sanitaire. On rappellera qu’il s’agit d’un régime qui encadre le confinement et d’autres mesures restrictives des libertés. C’est publié au Journal officiel.

Le Parlement a adopté dimanche ce texte « d’urgence pour faire face à l’épidémie de Covid-19 ». Le nouveau régime d’exception prévoit des mesures limitant la liberté d’aller et venir, de réunion et d’entreprendre. La violation des règles de confinement est punie d’une amende de 135 euros, 1 500 euros en cas de récidive dans les 15 jours et dans le cas de quatre violations dans les trente jours, le délit est puni de 3 700 euros d’amende et six mois de prison au maximum.

Avec une telle conjoncture, on a du mal à imaginer une manifestation sportive de l’envergure d’un championnat du monde pouvoir s’organiser au Mans. Mais il est aussi vrai qu’aucune annonce officielle d’un report, voire pire, n’a été effectuée.