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Le patron du team LCR a réussi l’essentiel pour assurer son avenir. Il a renouvelé avec Honda et il a fidélisé un Cal Crutchlow qui a obtenu le statut usine qu’il souhaitait. Ce qui suivra, pour Lucio Cecchinello, sera la cerise sur un gâteau qu’il veut partager avec deux pilotes et non plus un seul. Certes, mais ce sera un choix par défaut, car l’ancienne terreur de la 125 sait déjà qu’il ne pourra s’offrir celui auquel il pense : Franco Morbidelli.

Lors la veillée d’armes d’un Grand Prix des Pays-Bas qui se déroulera ce week-end à Assen, le patron du team LCR a donné un renseignement intéressant sur le marché des transferts en cours, en vue de la saison 2018. Un marché où Franco Morbidelli semble jouir d’une belle côte, alors que tout lui reste pourtant encore à faire dans son championnat Moto2.

Mais l’Italien du VR46 Academy semble, malgré tout, déjà assez inaccessible côté salaire : « j’ai le choix parmi les pilotes de Moto2, mais il y en a un que m’intéresse plus particulièrement. Il s’appelle Franco Morbidelli. Je le suis depuis qu’il est enfant, et même si je n’ai pas de relations personnelles avec lui, j’admire ce qu’il fait et sa façon de travailler. Il fait un beau parcours, mais il est aussi vrai qu’il a un contrat avec le Marc VDS et que je n’ai pas les moyens pour me l’offrir pour le moment ». Dixit Lucio.

On rappellera que c’est le sponsor GIVI qui aimerait bien que l’équipier de Cal Crutchlow soit un Italien, mais Honda fera sans doute en sorte qu’il soit Japonais. Par ailleurs, l’annonce sur l’avenir de Morbidelli semble tarder. Son contrat lui impose une présence sur la Honda du Marc VDS, à moins qu’il ne puisse opposer un statut d’officiel. Un étonnant bruit, confirmé par son patron dans le box Michaël Bartholemy, a couru au sujet d’une Yamaha. Tandis que chez Suzuki et chez Aprilia, on observe les débats…

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