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Un numéro spécial de la revue Riders, entièrement consacré à Valentino Rossi, est disponible dans les kiosques italiens depuis le 20 février.

À travers une très longue interview exclusive du champion italien et de ses proches, la revue transalpine dresse tout au long de ses 100 pages un panorama aussi complet que vaste puisque englobant également un reportage sur Tavullia, un reportage sur la société VR 46, la VR46 Riders Academy, le Ranch, le team Yamaha MotoGP, le Sky Racing Team VR46 et le Monza Rally Show.

Riders Magazine, qui fait référence en ce qui concerne le style de vie des motocyclistes est dirigé par Moreno Pisto qui n’hésite pas à déclarer dans son éditorial : « Cela n’a jamais été fait, personne ne le fera plus jamais. Avec aucun média ou journaliste, Valentino Rossi n’avait jamais ouvert son monde avec autant de volonté » .

Extraits…

Accédez à la première partie


Comment vous est venue cette sorte de prière à côté de la moto ?

« Cela est né dans le championnat italien lors des premières années, je n’avais pas de combinaison sur mesure et quand je partais, j’étais gêné.J’ai donc fait ce mouvement, pour le mettre en place aux genoux et à la hauteur du cul. Je me penchais, puis je m’accroupissais. C’est devenu un rituel, même si la combinaison est maintenant faite à mes mesures. Ce n’est pas une prière, mais un moment de concentration. Parce que lorsque vous montez à moto, que ce soit en course ou sur route, il doit y avoir un changement. C’est une chose dangereuse, il faut être concentré à cent pour cent, je le fais pour oublier ce qui s’est passé jusqu’à cet instant et ne penser qu’au pilotage ».

Pourquoi avez-vous décidé de monter sur la moto toujours du même côté?

« Ah… c’est facile, parce que c’est le côté de l’accélérateur ».

La VR46 Riders Academy…

« L’Academy est l’aspect que nous aimons le plus, parmi les autres choses. Cela nous fait plaisir de le faire. Tout est né de Marco Simoncelli, qui en 2006-2007 était en crise, n’allait pas fort, et m’ a dit: « Vale, je suis dans la merde et je tourne en rond. Tu me laisses voir comment tu t’entraînes ? Tu me donnes un coup de main ? On s’entraîne ensemble ? » J’étais l’ami de Marco, mais comme tout le monde, nous étions très jaloux de notre façon de préparer les courses. Nous étions hésitants. Puis, au final, Sic était sympa et je me suis dit: « s’il y a quelqu’un qui me tient compagnie quand je m’entraîne ou quand je fais du motocross, c’est sympa ». Je pensais que c’était un moyen de progresser et de devenir plus fort. De là est née l’Academy. Pendant ce temps, Franco Morbidelli arrivait et, malheureusement, l’accident de Sic est survenu. Alors, aussi ‘un peu’ pour nous souvenir de lui et continuer tout cela en son honneur, nous avons continué le projet. Après Morbidelli, il y a eu mon frère, qui avait commencé à courir avec son père et qui lui demandait: « Mais es-tu sûr ? » Ça m’a paru étrange. Et puis le reste est venu naturellement. Migno, dans le paddock, on l’ a vu monter à vélo et nous faire rire, parce qu’il était un tout petit garçon, et puis on s’est dit: « Prenons Migno et donnons-lui un coup de main ». Je ne veux pas dire que c’était complètement un hasard, mais ça s’est passé comme ça. »


La suite des extraits comporte de nombreux témoignages de la garde rapprochée de Valentino Rossi: Uccio, Flavio Fratesi, Alberto Tebaldi, Claudio Sanchioni et Stefania Palma.
C’est pour quoi nous les avons séparés de cette deuxième partie.

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