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Jack Miller, qui s’élançait depuis la première ligne sur la grille de départ du Grand Prix de Grande-Bretagne, a terminé la course à une modeste 8e position.

La raison en est simple : le pilote australien a vu le dispositif d’aide au départ de sa Ducati se bloquer et a perdu toute chance de bien figurer durant un premier tour qu’il a conclu en 7e position.

Nous reviendrons sur cet incident technique mais, en attendant, cela lui a permis d’observer la chute de Fabio Quartararo et d’avoir une conviction.

Jack Miller : « Comme je l’ai expliqué, mon départ n’a pas été bon, mais quand j’ai freiné avant le premier virage et que je n’ai pas pu arrêter la machine, Fabio m’a doublé à l’extérieur. Il passe probablement ce virage en troisième vitesse normalement, mais après le départ, il a essayé en deuxième parce qu’il s’élançait de la deuxième ligne et n’a pas eu le temps de passer la troisième vitesse. Lorsqu’il a ensuite accéléré à fond en deuxième vitesse, il avait beaucoup plus de puissance sur la roue arrière qu’en troisième vitesse. Je l’ai regardé accélérer et il est parti. L’antipatinage n’a pas pu l’aider. Parce que celui-ci est réglé pour la troisième vitesse. La cartographie n’est pas prévue pour la deuxième vitesse dans le premier virage ».

Cette théorie n’a apparemment rien à voir avec les explications fournies jusqu’à présent : une perte de l’arrière suite à une brusque fermeture des gaz en réaction à une petite perte d’adhérence d’Álex Rins.

La chute de Fabio Quartararo ayant bien eu lieu à la ré-accélération après le premier virage, les différentes explications ne sont toutefois pas incompatibles entre elles… mais dans l’entourage du pilote français, on dément l’explication de l’Australien et reste sur la version donnée (voir ici).

Classement du Grand Prix de Grande-Bretagne MotoGP :

Crédit classement et photo : MotoGP.com

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