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Jack Miller

Jack Miller ne pouvait pas mieux commencer son Grand Prix du Japon, puisqu’il termine la première journée de ce seizième rendez-vous de la saison avec le meilleur temps. Dans son analyse de cette entame au Motegi, Fabio Quartararo a bien identifié la force des Ducati qui réside dans une accélération optimisée par leur correcteur d’assiette. Celui qui en une en rouge confirme et, en Australien bon teint, en explique même la raison…

C’est un Jack Miller légitimement habité pour le noble sentiment du devoir accompli qui a quitté le Motegi ce vendredi, lieu qui a lancé le premier Grand Prix du Japon du monde d’après, puisque sa dernière édition remontait à 2019. L’Australien qui roulera sur une KTM en 2023 a ainsi, avec sa présente Ducati, obtenu le meilleur temps de la journée avec une avance de seulement 0,028 seconde sur son équipier candidat au Championnat du monde Pecco Bagnaia et 0,049 seconde sur le leader du classement général Fabio Quartararo.

« C’était une bonne journée » avoue JackAss. « J’ai apprécié la session plus longue, j’ai pu faire beaucoup de travail. C’était bien de changer un peu la moto et de la comparer ensuite avec les mêmes pneus. Nous avons compris ce que les changements signifient pour la moto dans des conditions météorologiques constantes ». Et il ajoute : « bien sûr, nous avons continué à regarder le temps qu’il nous restait. Nous avons fini par mettre un nouveau jeu de pneus. La piste est en bon état, la moto fonctionne très, très bien ici. D’accord, le temps au tour aurait pu être un peu meilleur, mais nous pouvons encore nous améliorer demain ».

Jack Miller : « avec le correcteur d’assiette, c’est maintenant un plaisir de rouler ici »

Après une pause de deux ans due à la pandémie, le MotoGP est de retour au Japon, avec des machines qui n’ont plus rien à voir avec celles de 2019. Et notamment du fait du dispositif permettant de régler l’assiette de la machine selon les circonstances, un sujet très bien travaillé par Ducati…   « Ces dispositifs ont été conçus précisément pour de tels tracés. La chicane en montée était autrefois un problème de chronométrage. C’est maintenant un plaisir de rouler ici. L’asphalte ressemble à ce qu’il était il y a trois ans ».

Ensuite, Miller a révélé qu’il utilise beaucoup le correcteur d’assiette : « je l’utilise dans le virage 1, dans le dernier virage, puis également à la sortie des virages 2 et 4. Puis dans la petite ligne droite avant la ligne droite arrière et à plat également sur le bout droit. Je pense que nous l’utilisons très souvent ici, c’est comparable à la piste en Autriche ». Et tout ça dans le plus parfait respect de la réglementation. Mais à quoi pensaient les constructeurs japonais ?

MotoGP Japon J1 : classement

Japon

Crédit classement motogp.com

 

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