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Claude Michy l’organisateur du Grand Prix de France, l’avait signalé dès le début de la crise sanitaire planétaire : c’est le coronavirus qui commande. Aujourd’hui, il desserre son étau et autorise le déconfinement tandis que le Grand Prix de France ne renonce pas à une représentation en octobre prochain. Mais avant cela, il faudra lancer la saison, et c’est espéré le 19 juillet à Jerez. Dans cette optique, cette nouvelle venue d‘Espagne est excellente…

Le paddock s’est mis sous perfusion, et il sait par définition que ce statut ne peut être pérenne. Il faut donc courir. Pour atteindre cet objectif, le promoteur Dorna avec son patron Carmelo Ezpeleta met en place un protocole sanitaire draconien et sur pied un calendrier réduit tant dans l’espace que dans le temps, avec des circuits qui peuvent recevoir des meetings à huis-clos. Mais tout ça dépend aussi de la position du gouvernement du pays d’accueil…

De ce point de vue, les dernières décisions venues d’Espagne sont un véritable rayon de soleil. Le premier ministre espagnol Pedro Sanchez a ainsi déclaré samedi 23 mai ouvrir ses frontières aux touristes pour le mois de juillet prochain. Il espère ainsi sauver la période estivale. « Je vous annonce qu’à partir du mois de juillet, l’entrée de touristes étrangers en Espagne reprendra en conditions de sécurité », a-t-il déclaré.

Le pays vit sous confinement depuis le 14 mars dernier, et les frontières sont fermées. Lors d’une conférence de presse, il a également annoncé la reprise des grandes compétitions sportives et professionnelles, et en particulier la Liga de football, à partir de la semaine du 8 juin. De fait, un Grand Prix d’Espagne à Jerez le 19 juillet est du domaine du possible. Dans le nouveau calendrier, pas moins de sept courses sont attendues dans la péninsule ibérique.

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