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Sumi

Ce ne sont pas les seuls mais en ces temps de restrictions de voyage à cause du coronavirus, les ingénieurs japonais de Yamaha séjournent en Andorre entre les Grands Prix.

Cela est dû à la position centrale de la principauté située à portée de l’Espagne, de la France et de l’Italie.

Lundi, comme d’ailleurs beaucoup de pilotes qui résident au même endroit, ils ont donc effectué leur test PCR qui est valable pendant seulement 96 heures, faute de quoi l’entrée du paddock est interdite.

Malheureusement, cette fois, un des ingénieurs a été déclaré positif mardi, bien qu’asymptomatique.

Du coup, ce sont les six ingénieurs, qui voyagent toujours en groupe, qui se voient contraints de manquer le Grand Prix de France au Mans, y compris le MotoGP Project Leader Takahiro Sumi.

Ils pourront cependant travailler à distance via les moyens de télétravail modernes, une solution un peu bancale en attendant que Yamaha envoie d’autres ingénieurs du Japon.

Au moment où l’on débute trois courses consécutives, le moins que l’on puisse dire c’est que cela tombe mal pour les hommes d’Iwata, même si ces ingénieurs ne travaillent pas directement dans l’une des deux équipes, mais sont impliqués dans la globalité du projet MotoGP !

Au milieu de la semaine prochaine, il sera décidé si ce groupe peut participer au GP d’Aragon (16-18 octobre) en Espagne.