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Johann Zarco

Sur la grille de départ du MotoGP, vous ne trouverez pas un autre pilote qui se prête avec autant de spontanéité aux à-côtés des Grands Prix que Johann Zarco. Il vous poussera la chansonnette à votre mariage, ira par la route à un Grand Prix avec une moto de collection et, comme on le voit ici, il sera un même passage avide de nouvelles expériences. Bon, maintenant, c’est sur la plus haute marche d’un podium qu’on l’attend…

Ce souvenir nous est remis en mémoire par le site crash.net, un événement qui s’est déroulé lors du Grand Prix de Malaisie. A cette occasion, le directeur sportif de Pramac et ancien vainqueur du Grand Prix 250cc, Fonsi Nieto, était aux commandes de la Desmosedici biplace spécialement adaptée, utilisée par Ducati pour donner aux sponsors et aux invités un avant-goût du MotoGP.

La suite, c’est Johann Zarco qui la raconte : « mon kiné, mes techniciens et quelques mécaniciens ont tous eu l’occasion de l’essayer et en les voyant, je me suis dit : ‘Je vais chercher mon cuir et c’est parti !‘ J’ai demandé une autorisation pour vérifier si je pouvais le faire, et ils ont dit oui ». Le Français ajoute : « j’étais derrière Fonsi et ce fut une très bonne expérience. Assez heureux. Je ne savais pas comment je me sentirais sur la moto sans le contrôler. Mais ça s’est bien passé, une bonne expérience ».

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Johann Zarco : “pour ceux qui n’ont pas d’expérience en MotoGP, ça suffit !

En pilote avisé, il a analysé dans le détail l’ergonomie de cet engin si particulier. Il a ainsi estimé que les poignées du réservoir ne fournissaient pas suffisamment de soutien au passager lors d’un freinage brusque, mais a été impressionné par les angles d’inclinaison possibles dans les virages : « le plus difficile est la zone de freinage. Pour le passager, ce n’est pas facile de s’accrocher à la moto et il devrait trouver une meilleure solution pour profiter davantage du point de freinage, car on souffre trop ».

« Mais dans les virages… Je pense que ce qui est impressionnant avec une MotoGP, c’est à quel point on peut se pencher et même avec la biplace, vous avez beaucoup d’angle, et c’est spécial. C’était donc très intéressant ». Un moment ludique qui a aussi eu son intérêt dans le travail… « Pour les autres gars, comme mon kiné, ils pouvaient sentir la vitesse et la puissance. Mais pour moi c’était plus ennuyeux, car la ligne droite arrière ici est longue et j’ai l’habitude d’aller à 50 km/h de plus ! ». Puis il termine : « mais pour ceux qui n’ont pas d’expérience en MotoGP, ça suffit ! ».

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