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Le compte à rebours est lancé ! Dans maintenant trois semaines, les pilotes MotoGP reprendront le collier pour des tests qui s’annoncent éprouvants dans la fournaise de Sepang. Valentino Rossi, comme ses collègues, ont repris le guidon et comme souvent, c’est avec une machine de motocross que l’on veut retrouver forme et vitesse. A côté, la vie continue de s’écouler avec son lot de soucis, au tribunal y compris…

Valentino Rossi a fini ses vacances et a lâché la main de sa douce Francesca pour saisir le guidon d’une moto sur les chemins de terre de la piste de motocross « Tre Ponti » à Ravenne. « Entraînement sur la piste « Tre ponti Mx » à Ravenne avec la VR46 Academy », a écrit le pilote Yamaha sur les réseaux sociaux à l’appui d’une série de photos de sa journée d’entraînement.

Pendant ce temps, au tribunal, le Doctor a perdu un procès en appel face au couple moldave (Victor Untu 55 ans et son épouse de 43 ans Zinaida Jigan) qui était les anciens gardiens de sa villa via dei Mandorli. Une histoire qui a débuté vers Noël 2016, lorsque la société Domus Mea, propriétaire de la résidence et dont le seul directeur est le père Graziano Rossi , envoie la lettre de licenciement aux deux gardiens, la motivant avec la vente de la villa. Le couple a contesté le licenciement devant le juge, demandant également environ 80 000 euros d’heures supplémentaires.

Le tribunal de première instance avait donné raison à Valentino Rossi, jugeant que Domus Mea était une « entité différente » du nonuple titré, et que ces heures supplémentaires contestées avaient en fait été effectuées par des sociétés extérieures sur commission. Mais l’avocat Mario Del Prete, assisté de sa collègue Cinzia Fenici, avocate moldave, a fait appel, affirmant que la société Domus Mea n’était rien de plus qu’une fiction et que le véritable propriétaire du bien avait toujours été le pilote Yamaha, qui aurait donc dû continuer à payer les salaires des deux gardiens.

Le juge, en appel, lui a donné raison, infirmant la peine de première instance. Selon ce que rapporte le journal Il Resto del Carlino, l’indemnisation du couple est d’environ 34 000 euros pour le licenciement illégal et 10 000 euros de frais de justice. Le tribunal n’a cependant pas envisagé le paiement des heures supplémentaires. Les avocats de Vale pourraient maintenant se pourvoir en cassation.

 

 

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